5 choses à ne jamais dire à ChatGPT (sauf si vous aimez les ennuis)

Imaginez un instant que ChatGPT soit un immense mur d’écho, un peu comme ces murs de pierres dans les montagnes : vous criez un secret… et il revient amplifier à la vitesse grand V jusqu’à la vallée. Sauf que dans notre cas, la vallée, c’est potentiellement tout l’Internet. Autant vous dire qu’il vaut mieux réfléchir à deux fois avant de livrer vos petites confidences à un chatbot. Aujourd’hui, je vous décrypte avec humour (et un brin de sarcasme) les 5 choses qu’il ne faut JAMAIS dire à ChatGPT si vous tenez à votre carrière, votre compte bancaire et, accessoirement, votre dignité.

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1. Parler de ses projets illégaux ou peu éthiques

On est d’accord, ce n’est pas chez ChatGPT qu’on planifie le casse du siècle ou qu’on demande comment hacker son voisin un peu trop bruyant. La plupart des IA sont programmées pour refuser ce genre de demandes. En plus de recevoir un joli message de refus, votre tentative pourrait être analysée pour vérifier que vous ne mettez pas en danger la communauté. Résultat : vous aurez l’air aussi coupable qu’un chat pris en flagrant délit de cambriolage de frigo.

Moralité : gardez vos envies de grand banditisme pour Netflix, pas pour un chatbot.

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2. Divulguer des informations personnelles sensibles

Votre numéro de carte bancaire, votre mot de passe ou encore l’adresse de mamie Josiane ? Interdiction formelle. Tout ce que vous saisissez peut être utilisé pour entraîner les modèles… ou, pire, être accidentellement exposé. Utiliser ChatGPT, c’est un peu comme écrire son journal intime sur une pancarte lumineuse : « CONFIDENTIEL, mais visible depuis la Lune. »

Moralité : ChatGPT est un assistant, pas votre confident bancaire.

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3. Partager des secrets d’entreprise

« Tiens, si je briefais ChatGPT sur notre future campagne ultra-secrète ? »… Mauvaise idée !
Dès qu’un échange touche à des informations stratégiques, financières, ou de propriété intellectuelle, le principe de précaution est de mise. Même si ChatGPT ne divulgue rien intentionnellement, souvenez-vous : tout ce qui passe dans le cloud est potentiellement récupérable.

Moralité : Le cloud, c’est comme les toilettes publiques : on évite d’y laisser ses affaires personnelles.

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4. Croire que tout ce que dit ChatGPT est vrai

Spoiler : ChatGPT, aussi génial soit-il, peut parfois broder avec l’aplomb d’un participant de Koh-Lanta expliquant sa stratégie.
Des données obsolètes, des interprétations approximatives, des affirmations sans fondement… Même s’il a réponse à tout, il est loin d’être infaillible.

Moralité : Vérifiez toujours les infos, sous peine de citer en réunion une fake news avec la conviction d’un expert.

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5. Demander à ChatGPT d’outrepasser ses limites éthiques

Demander à l’IA de contourner ses propres règles ou de « faire une exception » pour vous est aussi efficace que de demander à un feu rouge de passer au vert rien que pour vous.
Non seulement c’est interdit, mais cela peut aussi générer un signal d’alerte auprès du système. Résultat : vous serez vu comme le petit malin… pas si malin.

Moralité : Respectez les limites et concentrez votre créativité sur des usages légaux et innovants.

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Conclusion : Se former à l’IA et au Prompt Engineering, un Passeport pour l’Avenir

Le monde change, et l’IA n’est pas juste une mode passagère, c’est le chantier de demain.
Savoir manier ChatGPT avec intelligence (sans mauvais jeu de mot) est devenu une compétence clé. Comprendre comment formuler des requêtes efficaces, éthiques et stratégiques, c’est non seulement un gain de temps, mais surtout une valeur ajoutée immense pour votre carrière.

Alors oui, apprendre à « parler IA » aujourd’hui, c’est un peu comme avoir appris à envoyer des mails dans les années 90 : au début, ça faisait sourire… et maintenant, c’est un prérequis incontournable.

Formez-vous, amusez-vous, maîtrisez vos prompts, et préparez-vous à être l’un de ceux qui surfent sur la vague du futur, et non de ceux qui la regardent passer en se demandant ce qu’ils ont raté.